L’histoire des Rebozos Sorebozo
Pourquoi ces écharpes en coton bio?
Il était une fois une jeune femme (oui bon, pour l’histoire…), future maman, qui se formait au Soin Rebozo. Dans cette pratique, qui se donne post accouchement, après avoir pétri la femme à l’huile, l’avoir fait ramollir dans un bain chaud voir de vapeur, puis laissé mijoter quelques minutes histoire qu’elle continue de bien dégorger (si si vous verrez en vrai pour celles qui veulent, c’est très glamour!!), on la saucissonne dans les tissus et on ressert le tout de la tête aux pieds dans les-dits Rebozos ! Alors, cette femme (parce que pas si jeune il faut bien l’avouer), elle voit les beaux tissus mexicains, de ce coton américain gonflé de pesticides et autres produits boostant, aux couleurs éclatantes rendues possibles par la chimie moderne, sur ce corps que la préparation précédente à rendu poreux à toutes substances. Et là, le scénario tourne au vinaigre : stop ! Arrêtons là le massacre… (euh, d’autant plus si la-dite femme allaite!!).
Voilà le film qui s’est déroulé dans ma tête lors de ma formation et de mes premières pratiques.
Un soupçon perfectionniste et têtue (ou persévérante??), je me suis mise en tête de trouver des tissus digne d’accueillir ces femmes (et pour quoi pas des hommes aussi) lors de ses soins. En tissus biologiques, teintures naturelles, de confection éthique.
Ben oui, tant qu’à faire !!
La barre était haute. Tant qu’à faire aussi !
Aidée par des ami.e.s, j’ai trouvé quelqu’une qui m’aiderait à les faire exister.
Et zou, SoRebozo est née ! (oui, c’est féminin, parce que dans le féminin à fond!! Hommes bienvenus ;-)!!)
Également éthique, parce qu’on emprunte ce monde aux enfants, on file un sacré coup de pouce à la planète ! Et là, je vous renvoie sur le site de Fibre Bio qui explique ça très bien (constats qui les ont poussés à se mettre à l’industrie textile, 2ème la plus polluante au monde après le pétrole).
Alice